Maintenant que les nombreux résultats du WE ont été compilés dans les news précédentes avec pas moins de 46 TCNistes en compétition répartis sur 9 épreuves (1 IM, 4 Half, 1 M, 2 S, 1XS), voici un petit retour sur l'édition de l'IronMédoc qui pour une 1ère a réussi à faire parler de triathlon au 20h de TF1.
Avoir des images de triathlon à la TV c'est déjà rare...mais au JT de Claire CHAZAL c'est carrément un exploit !!!
Cerise sur le gateau, Jean s'est fait interviewer juste avant le départ de la course pendant que son compère Serge rigole dans ses moustaches en écoutant son pote :)
En tous les cas, même si lui n'en est pas à sa 1ère, Jean GERHARDT revient sur cette journée pas comme les autres :
"L'IRON MAN édition 2012 m'avait laissé un gout amer et l'envie était grande de se refaire. Nice a été "sold out" tres vite cette année et c'est là que je prend connaissance de l'Iron Médoc : 3.8 km dans le lac, 180 km de velours et un marathon plat (4 boucles de vélo et de cap).
Avec Serge Rodier, on signe assez tot en janvier... Lire la suite...
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car il n'y a que 300 places ; le compteur des inscriptions a eu du mal a décoller de 30 et ce n'est que le dernier mois que l'on a atteint difficilement les 60 inscrits
On s'entraine bien , alternant des séances de force pour pouvoir emmener des grands braquets sur ce parcours qui devait se révéler tres rapide, avec des séances longues où l'on travaillait la lassitude en tournant plusieurs fois autour du lac de GL.
Nous voila donc réunis à 60 sur une ligne au bord du lac d'Hourtin à 7h pour la traverser d'Ouest en Est dans un chenal parfaitement dessiné par des couples de bateaux ; parcours génial, eau agréable et transparente à 18°. On finit dans la marina du port et l'accueil est magnifique ; je ne réussis pas ma première transition car je mets pas mal de temps a enfiler lycra et veste de velo car il fait encore un peu froid ; Serge me rejoins dans la tente de transition quand j'en sors et on pars comme des bombes pour 4 tours de 45km sur des lignes droites qui n'en finissent pas.
Le vent se lève à partir de la deuxiéme boucle et on s'allonge encore plus sur le prolongateur.Face au vent on puise dans les réserves et vent dans le dos on ne récupère pas car on fait le bourrain a 40km/h ; résultat 180 km en 5h 58 min, bon chrono mais on y laisse des forces. On se retrouve encore ensemble dans la tente pour la deuxième transition.
Le départ du marathon est toujours difficile apres un pacours vélo de ce type mais les jambes reviennent apres 2 à 3 km.
Je parcours le marathon en petites foulées rasantes et à l'économie en un peu plus de 4 h et Serge me suis toujours de qq minutes et me rejoins dans la zone d'arrivée tout aussi satisfait de la course, de l'organisation, du cadre magnifique.
Voila une épreuve nouvelle, parfaitement organisée, à la hauteur des tarifs d'inscription, dont le profil est different des IM connu en France et qui devrait vous plaire aussi..."
SP